À l’heure où le gouvernement français envisage une révision des contrats à long terme pour l’approvisionnement en énergie nucléaire proposés par EDF, la question de leur compétitivité pour l’industrie nationale se pose avec acuité.
Alors que l’Arenh, fixé à 42 EUR/MWh jusqu’en 2026, est jugé peu compétitif, un nouvel accord visant à ajuster ce prix à environ 70 EUR/MWh jusqu’en 2040 est envisagé. Cependant, les conditions actuelles du marché compliquent la conclusion de nouveaux contrats, illustrées par quelques lettres d’intention seulement signées par EDF. L’adaptation des propositions de prix, des paiements initiaux et de la gestion des risques de production apparaît cruciale pour attirer les acheteurs industriels nécessaires à leur succès.
L’adoption de ce faux contrat de différence (CfD) s’est révélée être une erreur.
Les PPA à prix réduits sont-ils un substitut viable à l’ARENH ?
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Finis rerum.
Direction des Études Économiques.
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Par Alexis Vessat, docteur en économie de l’énergie, expert en systèmes énergétiques européens.