Les Virtual Power Plants (VPP) peuvent concerner tant la production que la consommation : certaines entreprises se regroupent en agrégateurs afin d’acheter ou de produire collectivement de l’électricité.
Lors de la prise de participation d’EDF dans l’énergéticien allemand EnBW, la Commission européenne a exigé qu’EDF cède une partie de sa puissance sous forme de VPP, par le biais d’enchères.
EDF conservait ainsi la propriété des installations, mais non celle des mégawattheures produits, qui revenaient aux acheteurs adjudicataires.
Un dispositif similaire avait été envisagé lors de la création du mécanisme de l’ARENH.
Toutefois, dans le cas des VPP, les volumes auraient été cédés au prix du marché, tandis que dans le cadre de l’ARENH, ils sont vendus au coût de production d’EDF.
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Finis rerum.
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Par Alexis Vessat, docteur en économie de l’énergie, expert en systèmes énergétiques européens.